Les Scooters






C’est par ce biais que la société Isothermos est entré dans le monde de la mobilité :

Plutôt que de partir d’une planche à dessin, Renzo RIVOLTA a choisi d’acheter le brevet du scooter Furetto, et sa chaine de fabrication, à la société Giesse de Milan.


Celle-ci exposait son nouveau scooter lors de la foire de Milan 1947.

 

 


Le Furetto

 

La production démarra en 1948. Le slogan publicitaire de ce scooter était : « Le Furetto, le scooter parfait » et Renzo Rivolta se rendit rapidement compte que ce scooter n’était ni à la hauteur de son slogan, ni de ses concurrents : La légende raconte que lorsqu’il abandonna le projet, il enterra une dizaine de Furetto dans les fondations d’un bâtiment de l’usine en construction.

 



L’ISO Scooter

 

L’Isoscooter a récupéré une partie du cadre, et l’esprit du carénage du Furetto. Mais il dispose : D’une fourche télescopique, de roues d’un diamètre de 12 ’’.


D’un moteur de 125 cm3, à deux pistons, performant et économe.

 

Toutes ces innovations techniques font que l’Isoscooter se distingue de ses concurrents, et trouve son public.

 

Il a été produit de 1949 à 1957, et a connu trois évolutions mineures (Moteur différent et roues interchangeables à partir de la seconde série, plus d’ailettes de refroidissement sur la carrosserie arrière).

 

Série 1 : 1949 – 1950

Série 2 : dès 1950

Série 3 :  jusque 1957

 



L’ISO 150 F ou ISO DIVA

 

Il a été produit de 58 à 62, afin de remplacer l’Iso scooter.



 

Iso a abandonné le moteur à deux pistons, et a conçu un monocylindre de 145 cm3.

 

Malgré une ligne moderne, la production n’a pas égalé l’Iso scooter du début des années 50 : Peut-être est-ce parce qu’il ne se différenciait plus de ses concurrents Vespa ou Lambretta.

 

Il s’est toutefois bien vendu à l’étranger, notamment au Royaume Uni, en Espagne et en Argentine.

 

Il connaitra une évolution : Les câbles d’accélérateurs et de freins seront intégré dans le guidon sur la deuxième série.